Rousseau biography succinctes

Jean-Baptiste-Christian Fusée-Aublet (1723-1778) described more than 240 genera and 550 species and today he remains an authority in the field of tropical botany. He was first sent to the Ile de France (Mauritius) in order to establish a pharmacy with the title of “Botanist and first Apothecary-composer of the Compagnie des Indes” (1753-1761) (Fusée-Aublet, 1775, t. 1, p. 5). He was then appointed botanist by the King and stayed in French Guiana (1762-1764) within the framework of preparations for the Kourou expedition (1763). Unlike his predecessor Pierre Barrère, Aublet succeeded in assembling and identifying a substantial collection of plants. On his return to Paris in 1765, he published the voluminous Histoire des plantes de la Guiane françoise in four volumes (1775) with the help of Bernard de Jussieu. When he died in 1778, a large part of his herbarium collection ended up in the hands of Joseph Banks (1743-1820); another part ended up somewhat mysteriously in the collection of Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) (Lanjouw, Uittien, 1940; Lourteig, Joyet, 1997). Its scarce rema

Jean Louis Martin Castagne

Jean Louis Martin Castagne (né le à Marseille et mort le à Miramas) est un diplomate, homme politique, botaniste et mycologueamateurfrançais.

Biographie

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Louis Castagne est né le 11 novembre 1785 à Marseille dans la paroisse Saint-Ferréol. Son père, Honoré-Auguste Castagne (1758-1830), issu d'une famille de commerçants originaire de la république de Gênes, est négociant et vice-consul de France à Porto Maurizio en Ligurie. Sa mère, Marie-Louise de Gras (ca. 1760-1832) est d'ascendance noble[1]. Louis est le deuxième d'une famille de neufs enfants, dont quatre seulement arriveront à l'âge adulte[2].

Envoyé par son père, avec son frère aîné Auguste Castagne, en Suisse où il est éduqué par un précepteur adepte de Rousseau qui donne volontiers ses leçons dans la nature, Louis Castagne se passionne pour la botanique[3]. De retour à Marseille, il devient employé de banque et se lie avec un jeune collègue suisse, amateur de botanique lui aussi, du nom de Robillard[note 1]. Les botanistes ne sont pas légion à Marse

Prologue

1Pareto est sans doute, parmi tous les sociologues classi­ques, celui qui a été et reste le plus contesté en histoire de la sociologie. Les critiques de son œuvre ont été et sont nombreu­ses, disparates, et certaines d’entre elles conditionnent encore la réception et la compréhension de théories parétiennes chez les sociologues contemporains (Busino, 1974; 1999 : 23-33; 2006 : 660-680; 2007 : 127-385). Aux chercheurs d’aujourd’hui, en effet, les problématiques élaborées par Pareto paraissent irritantes, insupportables, impertinentes (Freund, 1974 : 5-22), voire caduques ou obsolètes, malgré ses tentatives de faire de la recherche sociale la synthèse de toutes les sciences humaines, d’englober l’économie dans la sociologie et l’histoire (Pareto, 1987 : 146-161; Passeron, 1995 : 37-137; 2000 : 25-71), d’élaborer un modèle d’homme social, « raisonneur et raisonnant », de décrire les variations des usages du principe de rationalité par les acteurs historiques, de « construire » une science logico-expérimentale des contextes historiques caractérisés par la « dépendance mutuel

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